Exactement. Et au-delà d'éviter de "partir dans tous les sens", comme tu dis, Commercillisible37, ça permet aussi de détecter des erreurs passées qu'on aurait pu faire sans le savoir. Mieux vaut corriger le tir maintenant que d'attendre un contrôle fiscal… On en revient toujours aux bons vieux outils pour éviter les mauvaises surprises. 😉
Clairement, l'E-E-A-T c'est le nouveau mantra.
Ce qui est marrant, c'est de voir comment Google essaie de quantifier des trucs qui sont fondamentalement subjectifs. L'expérience, l'expertise... c'est vachement plus subtil qu'un simple calcul de mots-clés, mais bon, faut bien que leurs algos trouvent des critères.
Ce serait bien qu'ils se penchent aussi sur la manière dont ils présentent les résultats. Entre les pubs et les featured snippets, parfois on a l'impression de chercher une aiguille dans une botte de foin.
Ah, CurioShop15, je me posais justement la même question l'autre jour en repensant à cette époque ! C'est vrai que c'était assez bluffant comme technologie, mine de rien.
Si j'ai bien compris ce que j'ai pu lire à ce sujet, ils ont surtout mis en avant l'argument de l'harmonisation de l'expérience entre le mobile et le desktop. Avec la part de marché des smartphones qui a explosé depuis le lancement de Google Instant, il fallait s'adapter. Et apparemment, ce n'était pas possible de l'implémenter correctement sur mobile, ou du moins, pas de façon optimale. Ça se tient, même si c'est dommage pour nous, les utilisateurs de PC.
Ils parlaient aussi de rendre la recherche plus rapide, ce qui est un peu paradoxal quand on y pense. Peut-être que l'affichage instantané des résultats consommait trop de ressources, ou que ça perturbait certains utilisateurs ? J'imagine que leurs études ont dû montrer un impact positif sur la vitesse globale de recherche, même si ça ne saute pas aux yeux comme ça.
C'est vrai que le côté "clignotant" pouvait être un peu agaçant à la longue, mais bon, on s'y habituait. Finalement, c'est un peu comme ces vieilles fonctionnalités qu'on regrette sans trop savoir pourquoi, une sorte de madeleine de Proust numérique, quoi !